Prometes est un studio créatif fondé en 2021 par Thomas Lagny. Dans ses créations se glisse discrètement l'écho de ses origines tahitiennes, réinterprétés dans un langage sculptural contemporain.

Mais l'histoire du studio remonte bien plus loin. Dès 2018, les premières recherches, croquis et expérimentations autour des formes et des matières posaient déjà les bases du projet. Ces années d'exploration patiente ont permis d'affiner une vision singulière : concevoir des objets pensés comme des sculptures contemporaines, habitant cette frontière subtile entre contemplation et usage.

Chaque pièce naît d'un travail artisanal minutieux et d'une réflexion profonde sur notre rapport aux objets, au temps et à l'essentiel. Fabriquées entièrement à la main dans nos ateliers, elles témoignent d'une attention particulière portée aux formes, aux détails et à la matière.

Dans un monde saturé d'objets éphémères, Prometes cherche à retrouver l'essentiel. Nos créations minimalistes, brutes et intemporelles invitent à ralentir, à questionner nos gestes quotidiens et à redonner du sens aux objets qui nous entourent.

Nous concevons des objets pour celles et ceux qui aiment les beaux objets, et qui voient en eux plus qu'une simple fonction.

Au cœur de cette démarche se trouve Darkspace, notre laboratoire créatif : un espace d'expérimentation où naissent les idées et se forgent les intuitions. C'est là que nous documentons méticuleusement les croquis, les essais, les échecs - car ils sont tout aussi précieux que les réussites. Dans ce laboratoire, les textures s'affinent, les proportions se testent, et les concepts prennent forme. Chaque expérience, chaque découverte fortuite nourrit le processus créatif et donne naissance aux pièces finales qui rejoindront ensuite nos collections.

Le nom Prometes n’est pas un hasard.

  • Le nom Prometes n’est pas un hasard promesse silencieuse et trace dans le temps, chaque objet invite à un geste conscient et à un rapport sensible à la matière, racine universelle à la sonorité brute et intemporelle qui évoque l’étincelle de Prométhée sans s’y réduire, ouverture poétique comme une langue à inventer pour réinterpréter le réel par des formes essentielles, manifeste d’un univers où les objets deviennent fragments de réflexion et rituels du quotidien